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Le meilleur compromis qu'on ait trouvé entre résistance, confort et éthique.


Une semelle résistante
La raison principale pour laquelle on jette nos baskets, c’est parce que la semelle est trop usée. Alors on a testé différentes semelles en labo et on a choisi la marque la plus solide : Bolflex. Et pour qu’elle dure encore plus longtemps, on a rajouté un peu de matière au niveau des zones d’usure. Voir le résultat des tests.


Arrêtez de décoller !
Pour éviter que vos semelles finissent par se décoller, elles sont cousues avec une piqûre latérale. Ces baskets sont construites autour d'une "première de montage" en cuir, une sorte de semelle intérieure un peu rigide pour leur apporter plus de stabilité dans le temps. C'est pour cela qu'elles sont un peu lourdes que la moyenne : 500g par chaussure vs. 300g pour une basket standard.
Du cuir solide et respirant
Pour l’extérieur de notre basket, on a pris un cuir "pleine fleur", la partie la plus solide de la peau (là où la densité de fibres de collagène est la plus forte). L’autre avantage d’un cuir de cette qualité, c’est que c’est très respirant, à condition de ne pas trop le recouvrir de teinture ou de plastique. Ce cuir trop recouvert, avec un aspect un peu "plastique", on le retrouve sur la plupart des baskets du marché (comme celles d'une célèbre marque à trois bandes). Son avantage ? Il s'érafle un peu moins vite. Son problème ? Il est moins respirant et surtout, il craque plus vite au niveau des plis. Bref, sur la version blanche des baskets Loom, des éraflures pourront apparaître un peu plus vite que la moyenne. Mais rien d'irréversible (contrairement aux craquelures) : ces baskets dureront longtemps si vous les entretenez régulièrement (et promis, ce n'est pas très compliqué).


Sans ampoules la fête est plus cool
Plus il y a d’empiècements, plus il y a de coutures, ce qui rigidifie la basket au risque de la rendre inconfortable (dans le petit monde de la chaussure, on dit que ça diminue le "prêtant"). Chez nous, tout l’extérieur de la basket n’est constitué que d’une seule pièce de cuir : ça coûte plus cher mais c’est plus confortable.
Tout confort
La semelle intérieure est en latex à mémoire de forme (et elle est amovible), on a ajouté deux mousses épaisses pour entourer la cheville, on a mis un antiglissoir en cuir retourné pour bien maintenir votre pied au niveau du talon et éviter que la doublure ne se troue à cet endroit. Et pour être sûr que vous ayez les pieds bien aérés, on a rajouté des oeillets sur le côté.


Tant qu’on a la santé
La doublure intérieure est en cuir à tannage végétal et sans métal (un cuir dit "Biocouro"). Bonne nouvelle pour vos pieds : comme il n'y a aucun produit toxique dedans, pas de risques d’allergies ou autres problèmes de peau.
Des lacets solides
Le lacet qui vous reste dans la main après avoir tiré un coup sec, ça vous est déjà arrivé ? Pas de risque ici : nos lacets sont en polyester (recyclé), plus résistant que le coton. Et on les glisse dans un passant de la languette pour qu’elle reste droite.


Des oeillets pour les flemmardes
Plein de gens finissent par abîmer l’arrière de leurs chaussures par flemme de desserrer les lacets. Alors pour que ce soit plus facile et que les lacets glissent mieux, on a mis des oeillets en métal.
Un travail d’équipe...
En toute honnêteté, on n’aurait jamais réussi à faire une basket de cette qualité seuls. On a eu le droit à un sacré coup de main de Caroline (une ancienne de chez Hermès et queen de la sneaker) qui nous a fait rencontrer Xavier, chez qui sont assemblées nos chaussures, qui nous a fait rencontrer Rogerio, chez qui sont fabriquées nos semelles, qui nous a fait rencontrer… enfin vous avez compris ?


... et en filière.
La plupart des pièces de notre basket sont fabriquées dans un rayon de 50km autour de Porto au Portugal, par un écosystème d’entreprises qui ont l’habitude de travailler ensemble. C’est ce qu’on appelle une “filière”. Non seulement ça permet de gagner en qualité et en réactivité, mais ça évite que la basket n’aie à parcourir 40 000 km avant d’arriver chez vous et surtout ça permet à un réseau d’entreprises locales de travailler en symbiose. C’est pas ça l’avenir de l’économie ?
Nous publions tous les avis, qu’ils soient bons ou moins bons.
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Deux méthodes pour connaître votre taille de basket
Avec une autre marque :
Vérifiez quelle taille vous faites dans vos autres baskets – vous avez forcément une des marques suivantes dans votre placard à chaussures :
> Veja, Reebok, Converse, Faguo, chaussures de ville en général : prenez la même pointure. Par exemple, si vous faites du 38 en Veja, prenez du 38 chez nous.
> Nike, Adidas, Asics, New Balance : prenez la pointure en dessous. Par exemple, si vous faites du 39 sur vos Nike, prenez du 38 chez nous.
Avec une feuille et une règle :

- Mettez des chaussettes (des Loom bien sûr) puis posez votre pied sur une feuille A4 talon contre le mur
- Tracez un contour autour de votre orteil le plus long (vous pouvez faire appel à un ami si vous manquez de souplesse)
- Mesurez avec une règle la longueur maximale depuis le bas de la feuille jusqu’au contour, puis reportez-vous au tableau ci-dessous :
Mesure du pied |
23,1 cm à 23,8 cm |
23,8 cm à 24,4 cm |
24,4 cm à 25 cm |
25,1 cm à 25,7 cm |
25,8 cm à 26,4 cm |
26,4 cm à 27 cm |
27 cm à 27,6 cm |
27,6 cm à 28,2 cm |
28,3 cm à 28,9 cm |
28,9 cm à 29,5 cm |
29,5 cm à 30,1 cm |
Pointure | 37 | 38 | 39 | 40 | 41 | 42 | 43 | 44 | 45 | 46 | 47 |
Largeur semelle intérieure au plus large : env. 8,5 cm
Nos conseils d’entretien pour les baskets :
Avant de commencer, il arrive que les embouts des lacets aient laissé quelques traces sur la semelle blanche à cause du contact prolongé dans la boîte à chaussures. Pas d’inquiétude : frottez avec le dos d’une éponge (avec du produit vaisselle si besoin) et ça partira.
Et si vous vous demandez si vos baskets sont à la bonne taille, sachez qu'il vaut mieux qu'elles soient légèrement trop grandes que légèrement trop petites (elles ne pourront pas s'agrandir...). Et si par exemple, vous observez un très léger décollement du talon, sachez qu'il s'atténuera une fois que les baskets seront faites à vos pieds.
Passons maintenant aux conseils d'entretien : un cuir non entretenu va forcément tôt ou tard se dessécher, craqueler ou perdre sa forme. Et après, ce sera foutu : plus aucun retour en arrière ne sera possible, même si le cuir est d’excellente qualité. Au contraire, si vous y passez un peu de temps, vous pourrez garder vos baskets pendant des années.
La chose fondamentale à comprendre, c’est que le cuir est composé d’environ 5% de corps gras – ce sont eux qui lui donnent sa souplesse, sa résistance et son imperméabilité. S’ils s’échappent, le cuir se dessèche. Votre objectif est donc simple : maintenir le cuir gras.
Voici comment faire :
- Il faut régulièrement le “nourrir”, au moins une fois tous les 6 mois. Idéalement avec un produit spécial type cire d’abeille, mais au pire, n’importe quelle crème hydratante de votre salle de bain fera l’affaire.- Si vos baskets prennent l’eau, faites-les sécher à l’air libre puis nourrissez le cuir. Eh oui : l’humidité chasse les corps gras (ce que vous devez savoir si vous avez déjà fait une vinaigrette : le vinaigre aqueux ne se mélange pas avec l’huile).
- Evitez de les porter deux jours d’affilée, surtout si vous avez tendance à transpirer ou si le temps est pluvieux. Ça laissera à vos baskets le temps d’évacuer l’humidité.
La deuxième chose à comprendre, c’est que le blanc, c’est salissant et qu'on verra les petites taches et éraflures plus facilement que sur une couleur foncée. D'ailleurs, sur notre cuir pleine fleur, ces éraflures pourront apparaître un peu plus vite que sur certaines baskets blanches dont le cuir est plastifié (comme celles d'une célèbre marque à trois bandes) mais qui vont craqueler plus vite au niveau des plis et durer au final moins longtemps. Pour nettoyer le cuir blanc, plein de tutos sont disponibles sur YouTube, mais pour être sûr de vous donner des conseils qui fonctionnent, on les a (presque) tous testés pour vous : voici sur ce lien le résultat avant/après sur des prototypes de baskets Loom.
Et voici le mode d’emploi qu’on vous recommande :
1/ D’abord, retirez les lacets : vous les mettrez dans votre prochaine lessive. S’ils vous semblent vraiment sales, vous pouvez d’abord les laisser tremper quelques minutes dans de l’eau avec un agent blanchissant que vous avez sous la main (ex : eau oxygénée / eau de javel / percarbonate de soude).
2/ Ensuite, enlevez les tâches et salissures sur le cuir et la semelle. Pour ça, mélangez un peu de liquide vaisselle dans de l’eau tiède, puis frottez ça partout sur vos baskets avec une vieille brosse à dents (faites attention à ne pas trop mouiller votre basket quand même, cf. nos conseils plus haut).
3/ S’il y a des taches récalcitrantes sur les contours des semelles, frottez-les avec du papier absorbant imbibé de dissolvant pour ongles. Idem pour les tâches sur le cuir : vous pouvez imbiber un coton tige avec du dissolvant et le tamponner sur la tâche (très légèrement pour ne pas risquer d’abîmer le cuir).
4/ Pour finir, il ne reste qu’à cacher les petites éraflures et raviver le blanc du cuir. Après avoir séché vos baskets, prenez un chiffon et appliquez un “rénovateur blanc” pour baskets (ils contiennent les mêmes types de pigments blancs qui ont été utilisés pour teindre le cuir de vos baskets, et honnêtement c’est indispensable d’en acheter un, par exemple ici). Laissez sécher 30 minutes, et ré-appliquez une 2e fois si nécessaire
Et voilà !